Saturday 11 February 2017

Implications Fiscales Canadiennes Sur Les Options D'Achat D'Employés

Bulletin des options d'achat d'actions pour employés Publié: janvier 2008 Dernière révision du contenu: octobre 2009 ISBN: 978-1-4249-4458-3 (impression), 978-1-4249-4459-0 (PDF), 978-1-4249-4460- 6 (HTML) Cette page est fournie à titre indicatif. Elle ne vise pas à remplacer la Loi et le Règlement sur l'impôt-santé des employeurs. 1. Responsabilité fiscale de l'employeur sur les options sur actions Cette page aidera les employeurs à déterminer quels montants sont assujettis à la taxe sur la santé des employeurs (EHT). L'EHT est payable par les employeurs qui paient une rémunération: aux employés qui se présentent au travail dans un établissement stable (PE) de l'employeur en Ontario, ou aux employés qui ne se présentent pas au travail chez un employeur de l'employeur mais qui sont rémunérés Un PE de l'employeur en Ontario. Un employé est considéré comme se présenter au travail à un établissement stable d'un employeur si l'employé vient à l'établissement stable en personne pour travailler. Si l'employé-e ne se présente pas personnellement à un établissement stable pour travailler, il est réputé se présenter au travail dans un établissement stable s'il peut raisonnablement être considéré comme rattaché à l'établissement stable. Pour plus d'informations sur ce sujet, s'il vous plaît lire établissement stable. Options d'achat d'actions Les options d'achat d'actions des employés sont accordées en vertu d'une convention d'émission de valeurs mobilières par laquelle une société offre à ses employés (ou employés d'une société sans lien de dépendance) le droit d'acquérir des titres de l'une ou l'autre de ces sociétés. Le terme titres désigne des actions du capital-actions d'une société ou des parts d'une fiducie de fonds commun de placement. Définition de la rémunération La rémunération au sens du paragraphe 1 (1) de la Loi sur la taxe sanitaire pour l'employeur comprend tous les paiements, prestations et allocations reçus ou réputés reçus par un particulier qui, en raison des articles 5, 6 ou 7 du revenu fédéral La Loi de l'impôt sur le revenu (LIR) doit être incluse dans le revenu d'un particulier ou être exigée si le particulier résidait au Canada. Les prestations d'options d'achat d'actions sont incluses dans le revenu en raison de l'article 7 de la LIR fédérale. Les employeurs sont donc tenus de verser l'ISE sur les options d'achat d'actions. Sociétés sans lien de dépendance Si une personne morale qui, au sens de l'article 251 de la LIR fédérale, donne à l'employeur une option d'achat d'actions à l'intention d'un employé, la valeur de toute prestation reçue en raison du stock Est incluse dans la rémunération versée par l'employeur aux fins de l'ISE. L'employeur est tenu de verser l'ISE sur la valeur de tous les avantages d'options d'achat d'actions qui surviennent lorsqu'un employé exerce une option d'achat d'actions pendant une période où sa rémunération est assujettie à l'ISE. Cela inclut les options d'achat d'actions qui peuvent avoir été accordées pendant que l'employé se présente au travail à un PE non-Ontario de l'employeur. L'employeur n'est pas tenu de verser l'ISE sur la valeur des options d'achat d'actions découlant de l'exercice d'options d'achat d'actions par un employé à un PE de l'employeur en dehors de l'Ontario. L'employeur est tenu de verser l'ISE sur la valeur des avantages d'options d'achat d'actions qui surviennent lorsqu'un employé qui exerce des options d'achat d'actions ne se présente pas au travail à un PE de l'employeur mais est payé D'un PE de l'employeur en Ontario. Anciens salariés Un employeur est tenu de verser l'ISE sur la valeur des avantages d'options d'achat d'actions d'un ancien employé si la rémunération des anciens employés était assujettie à l'ISE à la date à laquelle le particulier a cessé d'être un employé. 2. Lorsque les avantages d'options d'achat d'actions deviennent imposables Règle générale L'employé qui exerce une option d'achat d'actions pour acquérir des titres doit inclure dans son revenu d'emploi une prestation déterminée en vertu de l'article 7 de la LIR fédérale. Sociétés privées sous contrôle canadien (SPCC) Si l'employeur est une SPCC au sens du paragraphe 248 (1) de la LIR fédérale. L'employé est réputé avoir reçu un avantage imposable en vertu de l'article 7 de la LIR fédérale au moment où il cède les actions. Les employeurs sont tenus de payer EHT au moment où l'employé (ou ancien employé) dispose des actions. Lorsque des options d'achat d'actions sont émises par une SPCC. Mais sont exercées par l'employé après que la société a cessé d'être une SPCC. La valeur de la prestation sera incluse dans la rémunération aux fins de l'ISE au moment où l'employé dispose des titres. Sociétés privées contrôlées par des non-Canadiens (Non-CCPC) Tout avantage imposable résultant de l'exercice par un employé d'options d'achat d'actions sur des titres qui ne font pas partie d'une SPCC. Y compris les titres cotés en bourse ou les titres d'une société sous contrôle étranger, doivent être inclus dans le revenu d'emploi au moment où les options sont exercées. L'ISE est payable dans l'année où l'employé exerce les options d'achat d'actions. Le report fédéral d'imposition ne s'applique pas à la TVH Aux fins de l'impôt fédéral seulement, un employé peut différer l'imposition d'une partie ou de la totalité de l'avantage découlant de l'exercice d'options sur actions visant l'acquisition de titres cotés en bourse jusqu'au moment où l'employé cède les titres. Le report fédéral de l'impôt sur les options d'achat d'actions n'est pas applicable aux fins de l'ISE. Les employeurs sont tenus de verser l'ISE sur les options d'achat d'actions au cours de l'année où l'employé exerce les options d'achat d'actions. 3. Les employeurs qui effectuent des recherches scientifiques et un développement expérimental Pendant une période limitée, les employeurs qui procèdent directement à la recherche scientifique et au développement expérimental et répondent aux critères d'éligibilité sont exemptés de payer l'ISE sur les options d'achat d'actions reçues par leurs employés. Pour les SPCC, l'exonération est disponible pour les options d'achat d'actions d'employés octroyées avant le 18 mai 2004, à condition que les actions visées soient cédées ou échangées par l'employé après le 2 mai 2000 et au plus tard le 31 décembre 2009. Pour les non - Les options sont offertes avant le 18 mai 2004, à condition que les options soient exercées après le 2 mai 2000 et au plus tard le 31 décembre 2009. Tous les avantages liés aux options d'achat d'actions accordés Le 17 mai 2004, sont assujettis à l'EHT. Critères d'admissibilité Pour être admissible à cette exemption pour une année, l'employeur doit satisfaire à tous les critères d'admissibilité suivants durant l'année d'imposition de l'employeur précédant l'année d'imposition qui se termine dans l'année: l'employeur doit exploiter une entreprise en Ontario L'employeur doit entreprendre directement une recherche scientifique et un développement expérimental (au sens du paragraphe 248 (1) de la LIR fédérale) dans un PE en Ontario au cours de l'année d'imposition précédente Les dépenses admissibles des employeurs pour l'année d'imposition précédente ne doivent pas être inférieures à 25 millions ou 10 pour cent des dépenses totales des employeurs (définies ci-dessous) pour cette année d'imposition, selon le moins élevé des montants suivants: Être inférieur à 25 millions ou 10 pour cent des employeurs ont ajusté le revenu total (tel que défini ci-dessous) pour cette année d'imposition, selon le moindre des deux montants. Par exemple, si l'employeur remplit tous les critères d'admissibilité ci-dessus au cours de son année d'imposition se terminant le 30 juin 2001, il peut demander l'exemption de l'ISE pour l'année 2002. Les entreprises en démarrage qui n'ont pas d'année d'imposition antérieure peuvent appliquer des tests admissibles à leur première année d'imposition. La recherche scientifique et le développement expérimental réalisés au cours de leur première année d'imposition détermineront leur admissibilité pour la première et la deuxième année d'application de l'ISE. Fusions Dans la première année d'imposition se terminant après une fusion, l'employeur peut appliquer les tests admissibles à l'année d'imposition de chacune des sociétés remplacées qui s'est terminée immédiatement avant la fusion. Dépenses admissibles Les dépenses admissibles sont celles engagées par l'employeur dans le cadre d'activités de recherche scientifique et de développement expérimental qui sont admissibles à la superproduction de développement de recherche et développement (RampD) en vertu de la Loi sur l'imposition des sociétés (Ontario). Les paiements contractuels reçus par l'employeur pour l'exécution de RampD pour une autre entité sont inclus dans les dépenses admissibles. Les paiements contractuels effectués par l'employeur à une autre entité pour RampD exécutés par l'autre entité ne sont pas inclus dans les dépenses admissibles de l'employeur. Plus précisément, les dépenses admissibles de l'employeur pour une année d'imposition sont calculées comme suit: (ABminusC), où: représente le total des dépenses engagées au cours de l'année d'imposition en PE en Ontario, chacune constituant une dépense admissible en vertu du paragraphe 12 ) De la Loi de l'impôt sur les sociétés (Ontario), soit un montant visé au sous-alinéa 37 (1) a) (i) ou 37 (1) b) (i) À l'alinéa b) de la définition de la dépense admissible au paragraphe 127 (9) de la LIR fédérale) pour l'année d'imposition est la réduction de A exigée aux paragraphes 127 (18) à (20) D'un paiement contractuel et est le montant payé ou à payer par l'employeur au cours de l'année d'imposition qui est inclus dans A et qui serait un paiement contractuel au sens du paragraphe 127 (9) de la LIR fédérale qui est fait au bénéficiaire du montant . Dépenses admissibles déterminées Les dépenses admissibles déterminées de l'employeur pour une année d'imposition comprennent: les dépenses admissibles des employeurs pour l'année d'imposition; la part des employeurs des dépenses admissibles d'une société de personnes dans laquelle elle est membre au cours d'un exercice financier de la société de personnes qui se termine par l'imposition Année et les dépenses admissibles de chaque société associée qui a un PE au Canada pour toute année d'imposition qui se termine dans l'année d'imposition des employeurs, y compris la part des dépenses des sociétés admissibles d'une société de personnes dans laquelle elle est membre. Total des dépenses Les dépenses totales des employeurs sont déterminées conformément aux principes comptables généralement reconnus (PCGR), à l'exclusion des éléments exceptionnels. Les méthodes de consolidation et d'équité ne sont pas utilisées. Revenu total Le revenu total d'un employeur est le revenu brut déterminé selon les PCGR (sans utiliser les méthodes de consolidation et les méthodes de comptabilisation à l'avoir), moins les revenus bruts provenant d'opérations avec des sociétés associées ayant un PE au Canada ou des partenariats dans lesquels l'employeur ou les associés Est membre. Revenu total ajusté Les employeurs ont ajusté les recettes totales pour une année d'imposition correspondent au total des montants suivants: revenus totaux de l'employeur pour l'année d'imposition la part des employeurs du revenu total d'une société de personnes dans laquelle elle est membre au cours d'un exercice financier Une société de personnes qui se termine dans le revenu total de l'année d'imposition de chaque société associée qui a un PE au Canada pour toute année d'imposition qui se termine dans l'année d'imposition des employeurs, y compris les sociétés associées. Années d'imposition courtes ou multiples Les dépenses admissibles, les dépenses totales et le revenu total sont extrapolés aux montants de l'année complète où il y a des années d'imposition courtes ou multiples au cours d'une année civile. Partenariats Si un associé est un membre déterminé d'une société de personnes (au sens du paragraphe 248 (1) de la LIR fédérale), la part des dépenses admissibles, des dépenses totales et du revenu total de la société de personnes attribuable au partenaire est réputée nulle . 4. Sommaire de l'EHT sur les options d'achat d'actionsComme tout type d'investissement, lorsque vous réalisez un gain, son revenu considéré. Le revenu est imposé par le gouvernement. Combien de taxe youll finalement liquidation de payer et quand youll payer ces impôts varient en fonction du type d'options d'achat d'actions que vous êtes offert et les règles associées à ces options. Il ya deux types de base d'options d'achat d'actions, plus un en cours d'examen au Congrès. Une option d'achat d'actions incitative (ISO) offre un traitement fiscal préférentiel et doit respecter les conditions spéciales établies par l'Internal Revenue Service. Ce type d'option permet aux employés d'éviter de payer des impôts sur le stock qu'ils possèdent jusqu'à ce que les actions sont vendues. Lorsque le stock est finalement vendu, les impôts sur les gains en capital à court ou à long terme sont payés en fonction des gains réalisés (différence entre le prix de vente et le prix d'achat). Ce taux d'imposition tend à être inférieur aux taux traditionnels de l'impôt sur le revenu. L'impôt sur les plus-values ​​à long terme est de 20% et s'applique si l'employé détient les actions pendant au moins un an après l'exercice et deux ans après l'octroi. L'impôt sur les gains en capital à court terme est le même que celui de l'impôt sur le revenu ordinaire, qui varie de 28 à 39,6 pour cent. (28 - 39.6) L'employeur obtient la déduction fiscale Déduction fiscale lors de l'exercice de l'employé Déduction fiscale lors de l'exercice de l'employé Employé vend des options après un an ou plus Impôt sur les gains en capital à long terme À 20 Impôts sur les plus-values ​​à long terme à 20 Impôts sur les plus-values ​​à long terme sur 20 Les options d'achat d'actions non qualifiées (NQSO) ne bénéficient pas d'un traitement fiscal préférentiel. Ainsi, lorsqu'un employé achète des actions (en exerçant des options), il paiera le taux d'imposition normal sur l'écart entre ce qui a été payé pour le stock et le prix du marché au moment de l'exercice. Toutefois, les employeurs bénéficient parce qu'ils sont en mesure de demander une déduction fiscale lorsque les employés exercent leurs options. C'est pourquoi les employeurs étendent souvent les NQSO aux employés qui ne sont pas des cadres supérieurs. Impôts sur 1 000 actions à un prix d'exercice de 10 par action Source: Salaire. Suppose un taux d'imposition ordinaire de 28%. Le taux d'imposition des gains en capital est de 20 pour cent. Dans l'exemple, deux employés sont investis dans 1 000 actions avec un prix d'exercice de 10 par action. L'un détient des options d'achat d'actions incitatives, tandis que l'autre détient des NQSO. Les deux employés exercent leurs options à 20 par action et détiennent les options pour un an avant de vendre à 30 par action. L'employé avec les ISOs ne paie pas d'impôt sur l'exercice, mais 4000 en impôt sur les gains en capital lorsque les actions sont vendues. L'employé avec NQSOs paie un impôt sur le revenu régulier de 2 800 sur l'exercice des options, et de 2000 autres en impôt sur les gains en capital lorsque les actions sont vendues. Pénalités pour la vente d'actions ISO dans un délai d'un an L'intention derrière ISOs est de récompenser l'actionnariat salarié. Pour cette raison, un ISO peut devenir quest disqualifiedquot - c'est-à-dire devenir une option d'achat d'actions non qualifiée - si l'employé vend l'action dans l'année suivant l'exercice de l'option. Cela signifie que l'employé paiera l'impôt sur le revenu ordinaire de 28 à 39,6 pour cent immédiatement, par opposition à payer un impôt à long terme sur les gains en capital de 20 pour cent lorsque les actions sont vendues plus tard. Autres types d'options et de plans d'actions Outre les options décrites ci-dessus, certaines sociétés ouvertes offrent des régimes d'achat d'actions aux employés aux termes de l'article 423. Ces programmes permettent aux employés d'acheter des actions de la société à un prix réduit (jusqu'à 15 pour cent) et de bénéficier d'un traitement fiscal préférentiel sur les gains réalisés lorsque le stock est vendu plus tard. De nombreuses entreprises offrent également stock dans le cadre d'un plan de retraite 401 (k). Ces régimes permettent aux employés de mettre de côté de l'argent pour la retraite et de ne pas être imposés sur ce revenu avant la retraite. Certains employeurs offrent le avantage supplémentaire de correspondre à la contribution des employés à un 401 (k) avec le stock de la société. En attendant, les actions de la société peuvent également être achetés avec l'argent investi par l'employé dans un programme de retraite 401 (k), permettant à l'employé de construire un portefeuille de placements sur une base continue et à un taux constant. Considérations fiscales particulières pour les personnes ayant des gains importants L'impôt minimum de remplacement (AMT) peut s'appliquer dans les cas où un employé réalise des gains particulièrement importants des options d'achat d'actions incitatives. C'est une taxe complexe, donc si vous pensez qu'elle peut s'appliquer à vous, consultez votre conseiller financier personnel. De plus en plus de personnes sont touchées. - Jason Rich, cotisant aux salairesNovember 22, 2010 Modifications aux règles sur les options d'achat d'actions Le projet de loi C-47 (projet de loi), qui a été adopté en deuxième lecture le 4 novembre 2010 et a été envoyé au Comité des finances de la Chambre, , Budget fédéral de 2010 (Budget 2010) en ce qui a trait aux modifications apportées à l'imposition des avantages liés aux options d'achat d'actions. Les commentaires contenus dans cette mise à jour décrivent les principaux changements apportés à l'encaissement des options d'achat d'actions, les obligations de retenue des employeurs et le report de l'avantage sur options d'achat d'actions à l'égard des actions cotées. Cession des options d'achat d'actions D'une manière générale, les règles sur les options d'achat d'actions des employés obligent les salariés à inclure dans leur revenu la différence entre la juste valeur marchande des titres faisant l'objet de l'option au moment de l'exercice de l'option et le montant payé par l'employé (Et, le cas échéant, l'option). L'employeur n'a pas le droit de demander une déduction lorsqu'il émet des actions lors de l'exercice d'une option d'achat d'actions par un employé. Bien que cette prestation soit intégralement incluse dans le revenu des employés, à condition que certaines conditions soient remplies, l'employé peut déduire la moitié 1 du montant de la prestation pour déterminer son revenu imposable (la déduction pour options d'achat d'actions). Lorsque cette déduction est disponible, l'avantage lié aux options d'achat d'actions des employés est, en fait, imposé au même taux d'imposition effectif que le gain en capital 2. Dans de nombreux cas, les titulaires d'options d'employés et leurs employeurs préfèrent que l'employeur paie en espèces, La valeur en argent de l'option en échange de l'annulation de l'option. Dans un tel cas, avant le budget de 2010 et lorsqu'il était correctement structuré, l'employé pouvait faire en sorte que son avantage en matière d'options d'achat d'actions soit effectivement taxé comme un gain en capital alors que l'employeur avait généralement droit à une déduction fiscale égale au montant du paiement . Le projet de loi confirme qu'un employé ne pourra pas demander une déduction pour options sur actions à la disposition d'une option d'achat d'actions 3 à moins que la société qui a accepté de vendre ou d'émettre les actions (l'émetteur de l'option) 4 que ni lui ni aucune personne qui ne s'occupe pas 5 d'armes avec lui demandera une déduction à l'égard du paiement versé au contribuable. L'élection doit être déposée auprès du ministre et une preuve du choix doit être fournie à l'employé qui doit produire cette preuve avec sa déclaration de revenus pour l'année au cours de laquelle les options sont remises. Le libellé du projet de loi implique que l'émetteur d'options doit choisir à l'égard de chaque octroi d'options à des employés individuels. Le projet de loi ne semble pas s'appliquer à un exercice sans numéraire, c'est-à-dire qu'à la place de l'employé qui cède ses options pour recevoir la valeur en espèces, l'émetteur d'options s'arrange avec un courtier pour que le prix d'exercice soit avancé Et l'employé exerce les options avec une direction pour le courtier de vendre immédiatement les actions sur le marché libre pour satisfaire le paiement du prix d'exercice et de toute retenue d'impôt applicable. Notez que les frais de courtage, s'ils sont payés par l'émetteur d'options, devraient être un avantage imposable pour l'employé. Les émetteurs canadiens d'options et les émetteurs d'options de paiements étrangers qui accordent ou ont accordé des options aux employés de leurs sociétés affiliées canadiennes devraient examiner ce qui suit: Examiner leurs régimes existants pour déterminer s'ils ont le pouvoir discrétionnaire d'accepter ou de refuser une cession d'options. Déterminer s'ils veulent faire le choix de donner à leurs employés le bénéfice de la déduction pour options sur actions. Déterminer si elles devraient modifier leur régime d'options d'achat d'actions existant pour inclure l'obligation pour l'émetteur d'options de faire le choix en cas d'un retrait de l'option d'achat d'actions par l'employé. Examiner l'incidence comptable de la nouvelle mesure sur les états financiers. Employeurs Retenue d'obligations Le projet de loi clarifie également les employeurs des retenues à la source des exigences de retenue à l'égard d'un employé de l'option d'achat d'options. Cette prestation doit être déterminée dans l'année où l'option est exercée et sera calculée comme si la valeur de la prestation d'options d'achat d'actions avait été versée à l'employé sous forme de prime en espèces. En conséquence de cette nouvelle mesure, les employeurs devront faire une retenue sur l'exercice des options même si seulement des actions sont distribuées aux employés. Cette mesure vise à prévenir les situations où les employés ne sont pas en mesure de respecter leurs obligations fiscales en raison de la baisse de valeur des titres acquis lors de l'exercice d'options. Les considérations suivantes s'appliquent à l'exigence de retenue: Si la prestation d'options d'achat d'actions est admissible à la déduction pour options d'achat d'actions, le montant de la taxe à retenir peut être réduit pour refléter cette déduction. Si les options ont été accordées avant 2011 en vertu d'une entente écrite conclue avant le 4 mars 2010 et qu'une telle convention écrite comprenait à ce moment une condition écrite qui restreint l'employé de disposer des actions pour une période de temps après l'exercice, Aucune retenue d'impôt n'est nécessaire. 6 Aucune retenue d'impôt n'est exigée lorsque l'option d'achat d'actions est constituée relativement à l'exercice d'options sur des actions d'une société privée contrôlée au Canada. Avant le budget de 2010, l'Agence du revenu du Canada (ARC) a toléré qu'aucun impôt sur le revenu ne pourrait être retenu à la source sur les avantages d'options d'achat d'actions si aucune rémunération en espèces n'était versée à un employé ou si la retenue causerait un préjudice injustifié à l'employé. Cette politique de préjudice injustifié ne s'appliquait pas aux options d'achat d'actions exercées par des employés non résidents ou à des programmes d'exercice sans numéraire. Le projet de loi élimine formellement la politique de préjudice injustifié et toute obligation fiscale découlant de l'exercice d'une option d'achat d'actions ne sera pas considérée comme justifiant une réduction de la retenue d'impôt par l'ARC. Lorsqu'une société mère étrangère octroie des options d'achat d'actions aux employés de sa filiale ou filiale canadienne, la société mère étrangère est techniquement responsable de retenir et de déclarer l'option d'achat d'actions, à moins que les coûts de la société mère étrangère ne soient facturés à la filiale ou filiale canadienne. Cependant, dans la pratique, l'employeur canadien a habituellement déclaré la prestation d'options d'achat d'actions et pris en charge les envois de fonds à retenir. L'ARC n'a pas indiqué que cette pratique n'est plus acceptable. Les émetteurs d'options devraient tenir compte des éléments suivants: Option Les émetteurs devraient revoir leurs procédures administratives actuelles pour retenir les options d'achat d'actions et veiller à ce qu'elles soient conformes au projet de loi. Pour remplir leurs obligations de retenue d'impôt, les émetteurs d'options sont tenus de suivre les exercices d'options des anciens employés. Les émetteurs d'options peuvent envisager l'établissement d'un programme d'exercice sans numéraire qui respecte les obligations de retenue. Les émetteurs d'options peuvent envisager de conseiller les employés et les anciens employés de la procédure administrative des émetteurs de se conformer à leurs obligations de retenue qui peuvent inclure la vente d'une partie des actions sous-jacentes options par un courtier pour couvrir les retenues à la source applicables, Paie la retenue à la source applicable en espèces à l'émetteur de l'option et leur propose de consulter leur conseiller fiscal. Option Les émetteurs peuvent envisager de modifier leurs plans d'options d'achat d'actions pour clarifier leurs procédures administratives afin de se conformer à leurs obligations de retenue, en particulier si une telle modification peut être effectuée sans l'approbation du détenteur de titres aux termes du plan pertinent. Les employeurs peuvent envisager de revoir d'autres programmes de rémunération à base d'actions comme les plans d'achat d'actions des employés dans lesquels des actions peuvent être émises pour se conformer aux nouvelles règles de retenue et tenir compte du processus de retenue fiscale qui doit être établi. Report de l'option d'achat d'actions des sociétés ouvertes Depuis 2000, les employés des sociétés ouvertes ont été autorisés à choisir d'ajourner l'inclusion de l'avantage sur options d'achat d'actions réalisé à l'exercice de leurs options d'achat d'actions Limite annuelle de 100 000). Dans le budget de 2010, le gouvernement a annoncé son intention d'abroger ce choix pour reporter l'inclusion du revenu à l'égard des options d'achat d'actions exercées après le 4 mars 2010. Le projet de loi prévoit qu'aucune élection de report ne peut être déposée pour les actions cotées acquises après mars 4, 2010 8. Les particuliers seront en mesure de faire un choix pour limiter le passif d'impôt sur l'avantage de l'option différée à un montant égal au produit final de la vente reçu. Le rajustement électif sera ajusté pour tenir compte des pertes en capital résultant de la disposition des actions et de leur application contre les gains en capital provenant d'autres sources. Ce choix sera disponible pour les actions vendues avant 2015 (y compris les actions vendues avant le 4 mars 2010). Pour les actions vendues avant 2010, les particuliers seront tenus de déposer le choix à la date d'échéance de dépôt de leurs déclarations d'impôt personnel de 2010. Toutefois, le choix ne peut être effectué que si le particulier a décidé de différer l'imposition du bénéfice découlant de l'exercice d'options visant l'acquisition d'actions négociées sur certaines bourses. Options Les émetteurs devraient envisager de communiquer aux employés et aux anciens employés qu'il n'est plus possible de différer l'imposition de la prestation d'options sur actions lors de l'exercice de leurs options et de suggérer de consulter leur conseiller fiscal pour examiner les conséquences du budget de 2010. 1. Toutefois, Déduction n'est que de 25 (plutôt que de 50) aux fins de l'impôt québécois. 2. Sauf au Québec où le taux d'imposition effectif est de 30 au lieu de 24 pour le gain en capital. 3. Ou des parts dans le cas d'une fiducie de fonds commun de placement. 4. Sur un formulaire prescrit, non encore relâché. 5. Il se peut que des questions puissent être envisagées lorsqu'une société mère étrangère a accordé des options aux employés canadiens. 6. Une telle condition n'est toutefois pas fréquemment utilisée dans les plans d'options d'achat d'actions. 7. Ce qui pourrait être le cas des options des sociétés privées sous contrôle canadien. 8. Sauf si les options initialement qualifiées comme options CCPC. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec votre représentant Stikeman Elliott, tout auteur figurant sur la liste ou tout membre du groupe de pratique.


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